Pero piense el Gobierno que si España se le va de entre las manos, no podrá escudarse tras de una excusable negligencia. Cuando la negligencia llega a ciertos límites y compromete ciertas cosas sagradas, ya se llama traición.

José Antonio Primo de Rivera.
(F.E., núm. 15, 19 de julio de 1934)

martes, 1 de octubre de 2013

SOBRE UN PELIGROSO TERRORISTA.

Mi francés de bachiller -gracias a Dios y a mis profesores-, aún me permite entender razonablemente lo escrito en este idioma. Otra cosa es cogerlo de oído, función para la que mis orejas no están dotadas, y menos aún hablarlo.
 
Sin embargo, como decía, gracias a mis profesores de bachiller y COU -y en ningún caso a los de Universidad, que hicieron lo posible por fastidiarme lo que ya sabía- he podido comprender que a mi amigo Fernand CORTES de CONQUILLA -francés amigo de España y de la verdad que tiene la gentileza de dar cuenta de mis escritos en su página Le Pilori a la que tienen un enlace en la columna lateral-, la Gendarmería le ha entrado en casa, con amplio despliegue digno del más feroz terrorista, forzando puertas y maniatándole, y con la intención de hallar no se sabe bien qué material informático, a cuenta de algunos escritos publicados tiempo ha en su web.
 
Como muy bien explica él mismo, hubiera bastado con que le llamaran por teléfono para que abriese la puerta; pero entonces -digo yo por mi cuenta- no hubieran dado el espectáculo, que es lo que a ciertas gentes de uniforme democrático les gusta, amén de amenazar, intentar asustar y -dicho sea en español clarito- acojonar. Las gentes de uniforme democrático son iguales en todas partes, y también las gentes decentes solemos parecernos mucho, de manera que cuando cantamos las verdades no tenemos inconveniente en ofrecer los datos que se nos pidan. También la libertad de expresión es la misma en todas las memocracias, por lo que se ve.
 
En fin, este es un corto resumen de lo que cuenta mi amigo Fernand, para quien no tenga la suerte de entender algo de francés. Mi capacidad no llega a intentar una traducción completa, pero ahí tienen ustedes su escrito para que lo disfruten si pueden hacerlo.
 

* * * * *
 

Une intervention anti-terroriste en ce début d' automne à Valence d' Agen
 
Lundi 25 septembre 2013. Je me suis levé plus tard que d' habitude… vers 7 heures seulement car je me suis couché très tard. Comme à l' accoutumée, dès le saut du lit, je demande un envoyer-recevoir le courriel sur Windows Mail, je traite quelques courriels, je place la dernière lettre de Paix liturgique sur Le Pilori 2013-10 d' octobre, je fais un tour sur quelques pages internet dont les url m' ont été envoyées. La journée est calme, peu chargée et j' ai du mal à me réveiller dans la pénombre de la chambre dont les volets sont à peine entrouverts… au demeurant je ne suis jamais vraiment réveillé avant le midi divin… Je suis donc isolé au milieu de la maison, loin des voies publiques et à l' abri des éventuels  sons du quotidien.
 
Soudain, vers 8 heures, 8 heures et quart, c' est à dire vers 10 heures légales ou un peu plus tard, j' entends des vociférations incompréhensibles bien que réitérées à plusieurs reprises…  je suis toujours assis sur ma petite chaise en face à la petite table supportant mon pc portable… quelque peu étonné de ces hurlements et toujours endormi… devant l' insistance de ces hurlements aussi répétitifs qu' incompréhensibles, je lève un la tête pour jeter un coup d' œil vers la gauche entre les volets entrouverts et je constate alors une vive lumière venant d' une torche électrique jaillissant depuis l' obscurité de l' embrasure d' une porte derrière moi… toujours somnolant, j' y reste assez indifférent pensant à une connaissance à qui j' ai dû laisser la clef de la maison ce qui explique son arrivée intempestive à mon insu et en profitant pour me faire une farce… je commence à bredouiller je ne sais trop quoi…
 
C' est alors que sans me rendre compte de quoi que ce soit, je me retrouve à plat ventre le visage sur la moquette du sol, entravé, apparemment les mains menottées derrière mon dos sans comprendre ce qui se passe… certainement une plaisanterie très bien imaginée…
 
Au bout d' une vingtaine de minutes dans cette situation, je commence à me dire qu' il y a peut-être un vrai gendarme et sans doute plus de monde que je ne pouvais le penser… je me dis alors qu' ils font un exercice in vivo in situ… ce qui correspond au caractère facétieux des gendarmes de Valence d' Agen… au demeurant un quart d' heure après, le premier me place en position assise sur la moquette puis à ma demande sur la chaise… au demeurant, il s' agit d' un jeune, nouveau que je ne connais pas… un peu maladroit car il m' aide à me lever en me soulevant par les mains entravées dans le dos ce qui est un échec douloureux et me soutient ensuite par les épaules… j' en compte une demi douzaine dont 3 en civil dont deux femmes…  encore en pyjama, je ne suis guère présentable mais je n'  ai invité personne et je suis chez moi… une vingtaine de minutes s' écoulent et finalement, je suis libéré de mes liens et invité à m' assoir sur le lit… où finalement je m' étends sur le dos quelque peu amusé par le va et vient affairé des intrus…
 
Finalement, dans l' heure qui suit, la conversation s' engage peu à peu…l' une des femmes serait le capitaine de police Séverine Besse de la préfecture de police de Paris accompagnée d' une adjointe et d' un adjoint… deux jeunes gendarmes et un troisième bien plus âgé et très corpulent… tous trois de la brigade de Valence selon les dires du premier jeune… les voyant très soucieux de fouiner partout, je leur demande ce qu' ils cherchent en leur disant que, si cela existe dans la maison, je le leur indiquerai… en l' absence de réponse de leur part à tous, je réitère plusieurs fois ma proposition et finalement ils consentent à dire qu' ils cherchent du matériel informatique… je leur confirme donc que mon matériel informatique se trouve devant eux… ils continuent à chercher… je leur demande qu' est-ce qu' ils cherchent encore… toujours du matériel informatique… je leur confirme qu' il n' y en a pas d' autre… ils continuent à fouiner… nouvelle question de ma part… ils indiquent chercher des armes… je déclare n' avoir pas d' armes… ils cherchent toujours et insistent… nous cherchons des armes… je déclare alors une centaine de chars de combat Leclerc…. Et je m' apprête à ajouter un arsenal d' armes chimiques de destruction massive mais, devant le ridicule de leur insistance, ils passent à autre chose…
 
L' adjoint de police tripatouille mon pc portable… je lui indique qu' il n' y trouvera rien d' autre que ce qui se trouve sur Le Pilori et ses annexes… Les gendarmes me demandent alors si je ne les ai pas entendus sonner et cogner à la porte d' entrée place Sylvain Dumon et à la porte du garage allée des Fontaines, je réponds non car je suis toujours isolé à l' intérieur de manière à n' être au courant de rien de l' extérieur et qu' ils peuvent faire le test de leur bruit pour vérifier qu' ils n' entendent rien eux non plus… test qu' ils évitent de pratiquer… Les gendarmes m' indiquent alors qu' ils ont fait appel au serrurier d' un village éloigné pour pénétrer finalement à l' intérieur…  par effraction ainsi que je le souligne…  et ils rectifient soit-disant sur commission rogatoire ainsi que c' est la procédure… et je maintiens par effraction car tant la gendarmerie que le capitaine de police Besse de la préfecture de police de Paris disposaient de mon numéro de téléphone 06 04 08 46 36 auquel ils pouvaient me joindre pour demander l' ouverture… dans la mesure où j' étais présent à la maison car 8 jours plus tôt je n' aurai pu que répondre absent…
 
Vers 10 heures, c' est à dire 12 h légales, nous partons vers la brigade de Valence pour l' audition… le serrurier restant pour remettre en état les serrures… C' est l' adjoint de police spécialisé en informatique qui mène l' essentiel des auditions car il y a 4 commissions rogatoires…  la 1ère est relative à une plainte du sieur Peiclier Bernard ddfip des Alpes maritimes qui se plaint de la publication en annexe au Pilori d' une Citation directe au tribunal correctionnel à son encontre par mon Ami Louis GAIFFE, publication en date de fin novembre 2012 ; je sais que le sieur Peiclier avait déposé plainte au commissariat de Nice contre Louis GAIFFE à ce sujet et que cette plainte avait fini classée sans suite à Nice. D' où le dépaysement de l' affaire à Paris et la lettre du capitaine de police Besse de la PPP datée du 25 avril 2013, expédiée le 29 avril 2013 et reçue le 3 mai d' où ma réponse du même jour en ligne sur Le Pilori 2013-06 de juin http://www.midiassurancesconseils.com/Lepilori2013-06.htm et il paraît que cette réponse mienne du 3 mai n' aurait pas convenu au juge d' instruction… mais le capitaine de police Besse avait toutes mes coordonnées et téléphone pour me joindre en vue d' un complément d' informations mais sans nouvelles jusqu' à  l' intervention à mon domicile ce 25 septembre. L' audition ne fait que confirmer que Louis GAIFFE est bien l' auteur de cette citation et qu' elle a bien été diffusée à partir de cette fin novembre 2012… ce qui l' inquiète énormément au point de savoir si tout ce qui arrive au Pilori y est diffusé ce qui est confirmé à moins qu' il s' agisse d' infos météo de faible portée…
 
Une seconde commission rogatoire est relative à une plainte de Prycka Philippe percepteur de Marseille amendes au sujet d' un de mes courriels dans une affaire GAIFFE, courriel vieux de plusieurs mois qui ne lui a pas plu… justement ce courriel avait été écrit pour lui déplaire… courriel également en ligne sur l' édition correspondante du Pilori…
 
Une 3e commission rogatoire est relative à une plainte du sieur Cournet P qui se présente comme percepteur des amendes partout en France alors et qui est en fait l' imprimeur industriel de la dgfip à Meyzieu dans le Rhône à proximité de là où opérait un certain Barbie Klauss aux heures les plus sombres de notre Histoire…  mon courriel adressé à lui à Toulouse amendes vieux de plusieurs mois lui a aussi déplu certainement parce que n' y était pas mentionné son prénom Patrice qu' il dissimule volontiers derrière un P anonyme… Courriel également en ligne sur l' édition correspondante du Pilori…
 
La 4e et dernière commission rogatoire est due à une plainte de Peiclier Bernard du fait d' un de mes courriel vieux de plusieurs mois où je le qualifiais à juste titre de crapule comme le dgfip Bezard Bruno et ses ministres de Bercy entre autres du fait qu' il exigeait de Louis GAIFFE un second règlement de sommes déjà réglées par lettre-de »ux-chèques-manuels-en-euros-sur-la-banque-de-Polynésie-à-l'-ordre-du-trésor-public et dont Louis GAIFFE détient la preuve. Courriel également en ligne sur l' édition correspondante du Pilori.
Un  5e PV d' audition concerne la pénétration par effraction à mon domicile avec violation de la propriété privée et la perquisition ; contrairement à ce qui y est indiqué, les policiers ne m' ont présenté leur carte police qu' à la fin de la lecture de ce 5e PV et non pas à leur entrée dans les lieux ou dans ma chambre et au demeurant je n' ai pu y vérifier leur identité à plus d' un mètre… cette présentation m' ayant alors été faite car j' ai fait remarquer qu' à aucun moment je n' avais vu ces cartes…  cela n' enlève pas au fait que le capitaine de police Besse, commandant en chef de cette expédition, connaissait bien les dossiers en cause comme son adjointe au nom commençant par B et son adjoint Vincent Duchet.
 
Précision: au moins la première page de chaque audition pour ces 4 commissions rogatoires et pour le PV de perquisition a été obtenue par copier-coller du premier PV relatif à la 1ère commission rogatoire.
 
D' une manière générale, à partir du moment où j' ai été désentravé (au bout d' environ une heure) et hors de l' inutile saisie de mes deux pc portables (un très ancien de 2002 qui ne fonctionne presque plus et un second de 2008 qui fonctionne un peu plus mais très mal), les représentants des forces de l' ordre ont été corrects et plutôt attentifs quoique apparemment décontenancés par cette affaire, sa nature et les faits en cause. Aucun document relatif à la perquisition, à la saisie et à l' audition ne m' a été remis; il m' a été remis 3 clefs de la nouvelle serrure du 32 place Sylvain Dumon qui a été remplacée par le serrurier lequel a aussi remis en état la fermeture de la porte du garage 78 allée des Fontaines; cependant, l' œilleton de la porte 32 place Sylvain Dumon a été endommagé et non remplacé, les parties boisées de la porte 78 allée des Fontaines ont été endommagées à plusieurs endroits et non réparées (réparation impossible a priori), le ravalement du mur au coin supérieur gauche du 78 allée des Fontaines a été endommagé et la poignée d' une porte entre le couloir et la cour intérieure a aussi été presque entièrement détruite et non remplacée ; à ce jour je n' ai pas constaté d' autre dégât matériel et donc sous réserve de leur constatation ultérieure.
 
Depuis hier, Dimanche 29 septembre 2013 après midi, certaines images et certains faits n dont je n' avais aucune conscience jusqu' à alors et dont je ne m' étais point rendu à compte lors de leur survenance surgissent et m' apparaissent particulièrement inquiétants… Par exemple la pénétration par effraction à mon domicile par une multitude de forces de l' ordre équipées de gilets pare-balles (retirés à la brigade de gendarmerie de Valence d'Agen) lourdement armées quand il suffisait de m' appeler au 06 04 08 46 36 pour obtenir l' ouverture; ensuite celui qui était a priori le premier portant la torche et vociférant de manière incompréhensible brandissait apparemment un genre de fusil à canon scié sur lequel  devait être fixée la torche électrique en cause et derrière l' ensemble duquel il se dissimulait et le plus grave est que j' ai actuellement la nette impression qu' il ne maîtrisait aucunement son armement et que plus grave encore il était fort peu assuré de son action laissant apparaître une peur prononcée: il me semble qu' il s' agissait de l' un des jeunes gendarmes dans l' obscurité de l' embrasure de la porte derrière moi assis devant mon pc sur une chaise basse face à la table basse… enfin, et sans que cela soit limitatif en raison d' autres faits, la manière dont j' ai été mis à plat ventre et entravé relève d' un traitement particulièrement indigne et dégradant et ce d' autant plus grave qu' à aucun moment je n' ai manifesté aucun signe d' opposition, de rébellion ou de riposte ni même seulement d' hostilité ni même de mauvaise humeur. J' entends donc poursuivre en indemnisation l' état et le gouvernement -ministères de l' intérieur et de la justice- de ces faits.
 
Par ailleurs, l' intervention massive des forces de l' ordre équipées de gilets pare-balles et lourdement armées tant face au 32 place Sylvain Dumon qu' au 78 allées des Fontaines a provoqué des rassemblements massifs de personnes ayant pu légitiment penser que les forces de l' ordre agissaient ainsi face à un très dangereux terroriste bien plus nuisible qu' Ousama Ben Laden et d' autres ce qui porte gravement atteinte à mon honneur. Pour cette seule atteinte à mon honneur et pour la réparation des autres dommages matériels indiqués supra je demande une indemnité de 3 millions d' euros.
 
Fernand CORTES de CONQUILLA
En raie publique islamo-bananière francarabienne le 30 septembre 2013
 
 

1 comentario:

Old Nick dijo...

¡Tres Bon!¡Ont Les Enmerde A Touts, Mon Amí!
Aurevoir
ET
¡¡RIAU RIAU!!

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